*apporté par un gobelin particulièrement mal embouché, un parchemin vous a été remis*
"Cheres amis,
cela fait bien longtemps que, du jour au landemain, vous avez cessez d'avoir de mes nouvelles. Cela ne fut ni par plaisir, ni par manque de considération a votre égard, mais par obligaition. A présent que me voila sur le retour, mais encore séparée de vous par bien des jours de voyages, je confie a un marchand cette missive, afin, je l'espere, d'adoucire votre juste colere a mon endroit. Il y a de cela plusieurs mois, alors que je rentrai tranquilement a l'auberge, une lettre d'une de mes vieille amie me fut remise: cette gnomes, du nom de Tilumné, que j'avais conue lorsque je vivais encore a Gnomeregan, as toujours été d'une rare excentricité, meme pour un memebre de son peuple: voyagant avec ces parents, marchants de renom, sa caravanne fut attaqué et reduite a néeant par un raide de la horde; seule, petit bébé sans défense, elle fut receuillit par.. un couple de Taurens passant non loin, et qui avait été allerté par les vagissement de l'enfançon. Tilumné vecut donc de nombreuses année dans un petit vilage reculé, ou elle aprit beauoup de nos soit-disant ennemis de la horde. Bref, lorsque son message, sybilain au demeurant (un simple: rejoint moi chez mes parents adoptif, j'ai besoin de toi) me parvient, je prit rapidement un sac, et filai a menethil, sans me douté que je partait en fait pour plusieurs mois de voyage. Ce que devait m'apprendre mon amie ne peut etre relaté dans cette lettre que je ne confie pas a une personne de confiance, mais je puis vous dire ceci: de grand boulverssement approchent, et l'arrivé d'etranges perssonages dans nos contrées, de grands humanoides bleu munis d'un apeindice caudale, n'est que la partie visible de l'iceberg: des choses terribles viennent a notre rencontre, d'anciens alliés que l'on croyaient disparut ressurgissent, animés par la haine et la soif de pouvoir, de nouveaux amis viennent offrire leur aide et demander la notre, et ce qui ne devait jamais etre decellé, la porte oubliée, est en train de s'ourire... Je veux crore, mes amis, que vous m'acceuillerai a nouveaux dans vos rangs, et qu'enssemble, nous affronteronts cette menace grandissante; Réveré maitre, j'ai fois en votre clairevoyance; valereux Bigby, ton bras ne nous fera pas défaut; et vous tous, mes amis, anciens comme nouveaux, votre courrage, une fois de plus, sera mis a rude epreuve, mais la ou votre bras pourait faiblire, votre coeur, lui, ne saurait faire défaut.
A trés bientot, mes amis,
Laëlvälia Linquisti.